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Formation Management

20 mars 2013

Carrière | Manager de transition

Management TransitionLa crise que nous traversons tous depuis maintenant quelques années n'a pas que des désagréments. He oui, même dans la pire des situations se trouve une petite lumière blanche qui nous guide vers un monde meilleur... Bref, tout ça pour dire que malgré les licenciements en masse, les entreprises ont tout de même trouvées une solution à court terme.

Cette solution se nomme le manager de transition, ça en jette hein ?! Surnommé "tueur" dans le jargon, ce manager expérimenté (cadre supérieur ou dirigeant) est prété pour diriger une entreprise sur une certaine période. L'origine de cette solution vient des nombreuses fermetures de sites industriels qui ont obligés les patrons à réfléchir à un moyen rapide et efficace.

Une démocratisation de ce nouveau manager a fait qu'il est maintenant utilisé pour toutes sortes d'actions, améliorer les performances d'une société par exemple ou gérer un projet. Le manager de transition est clairement la réponse à une urgence : financière, humaine peu importe, il y a un besoin à vite combler. Il faut bien retenir qu'il ne s'agit pas du tout d'une embauche, c'est une mise à disposition de personnes expérimentées. Ce manager reste complètement dans son rôle de décisionnaire et conseiller dans les actions menées, peu importe l'entreprise dans laquelle il se trouve, cependant un bémol est mis sur le politique, pas touche !

 

 

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6 mars 2013

Rire et management, un cocktail détonnant pour passer la crise

Humour - rireExtrèmement communicatif et contagieux, le rire est considéré comme un facteur essentiel de l'insertion sociale. Elément anti-stress lorsque l'on accumule une trop grande pression, le rire nous donne également la possibilité de gérer des conflits - dans une moindre mesure.

Le rire est un incontournable atout pour votre leadership. En effet, comme ce dernier est transmissible sans trop de problème, vos collaborateurs seront sensiblement touchés par vos sourires et rires, leurs humeurs et à fortiori leurs performances s'en trouveront meilleures. Le rire comme aide au management a quand même son effet tic-tac car il peut cacher des frustrations, des tensions au sein de votre groupe qui peuvent avoir de lourdes conséquences pour la suite de vos opérations.

En pleine crise économique et financière, bénéficier d'un élément qui rassemble les troupes, favorise la créativité et conforte le leadership n'est pas du luxe. L'humour et le rire sont une très bonne carte à jouer pour les dirigeants, qui se doivent de réveiller les consciences. En période difficile, l'humour permet inévitablement de fédérer les gens, peu importe leur diplome, leur expérience, leur couleur, cela touche à la psychologie des personnes qui vous entourent.

 

5 février 2013

La PNL : l'avenir du management ?

PNL ManagementNouvelle stratégie d'approche de la physiologie de l'homme, la PNL est le résultat d'un mélange assez osé de différentes disciplines.

La PNL, dont le gourou est Robert B Dilts, met en avant une synthèse qui conduit à la l'utilisation directe de diverses connaissances telles la psychologie et les neurosciences mais également du management, des intelligences artificielles et de l'anthropologie.

Pour faire simple, l'approche de la PNL tent plus à déterminer les causes du bon fonctionnement d'un évènement, d'une action, plutôt que s'acharner sur les aspects négatifs et donc pourquoi l'action, l'évènement n'a pas marché. Pour se faire, elle s'appuie sur l'expérience de personnes jouïssant d'une qualité certaine dans un domaine (éducation, sport, santé...) ou sur des personnes ayant eu des difficultées mais qui ont réussies à s'adapter efficacement (émotions parasites, réponses traumatiques, insomnies...).

Après avoir analyser tout les axes de comportement d'un individu, de ses qualités ou d'une stratégie, la PNL va alors vous permettre de vous approprier cette compétence et de la faire partager.

16 janvier 2013

Recruter via les médias sociaux, tout juste un écho ?

social-networks-V2Qui aujourd'hui n'a pas un compte Facebook, Twitter ou Linkedin, pour ne citer qu'eux. Alors ? Alors ? Ah un marginal, vous pouvez rester ! Ces 7 dernières années ont vues se développer des réseaux (professionnels comme particuliers) de plusieurs millions d'individus recherchant, échangeant, commentant des statuts, photos, vidéos avec leurs relations. Il faut alors penser qu'il est indispensable de posséder au moins un compte personnel sur un média social pour être recruté.

Ce besoin se fait surtout sentir grâce à la génératon dites "Y", qui est née sous une ère technologique en pleine expansion. Il a fallu alors s'adapter à cette nouvelle tranche de la population pour ne pas laisser échapper de futures pépites.

Malheureusement la réalité est légèrement différente si l'on en croit l'étude menée fin 2011 par l'agence Regionsjob. Agence qui a donc démontrée qu'un seul recruteur sur 2 est actif sur les médias sociaux, une bien triste découverte étant donné le nombre plus que croissant d'inscrits.

 

Mais le problème vient également de l'utilisation de ces médias sociaux par la populasse qui ne fait que consulter ses comptes pour en modifier ou en optimiser l'aspect communiquant. La recherche d'emploi à proprement parlé est loin derrière... mais pour combien de temps encore ?

13 décembre 2012

Ces adorables cadres

Manager gentilQui irait, aujourd'hui, se plaindre d'un manager trop gentil ? Certainement pas ses collaborateurs, quoique cela puisse poser problème quant à la réelle autorité du concerné. Pour l'image d'une équipe et son efficacité, le "gendre idéal" n'a pas place, le manager doit appuyer ses convictions au groupe.

Le gentil est souvent lié, à tort, à un rôle de naïf sans non plus tomber dans le simple d'esprit. D'ailleur les règles qui régissent le costume de manager sont la supériorité ou encore l'emprise, ce qui n'est pas pour aider le changement des stéréotypes.

Mais dans ce monde professionnel maintenant occupé par la prépondérance des médias, le manager se voit souvent confronter à un dilemme, celui de rester l'homme sympathique et à l'écoute de son équipe tout en imposant son autorité et vis versa, sous peine de se voir jugé par la terre entière (le bureau quoi !).

Et il faut reconnaître aussi qu'un manager trop sympa aura plus de mal à se faire entendre et l'empathie n'est pas une qualité chez tout le monde.

 

 

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29 novembre 2012

Nouveau dans l'équipe : Comment l'accueillir

essilor_integrationNous avons tous plus ou moins, jouer une fois le rôle de petit nouveau dans une équipe de collaborateurs. La sensation est plus que perturbante, c'est le grand saut dans l'inconnu, on ne connait personne et pour certain l'accueil se veut distant voire hostile, ce qui n'est pas pour arranger ce qui deviendra certainement une belle histoire.

Mais aujourd'hui, c'est vous qui accueillez le pti dernier, et je vous connait maintenant assez bien pour savoir que vous n'êtes pas rancunnier(ère), alors on se prépare à faire sensation. Qu'il soit simple stagiaire, CDD ou CDI, ce nouveau collaborateur représente également l'image de votre entreprise, vous avez donc tout à y gagner de l'accueillir comme il se doit.

L'intéret n'est pas non plus de faire des courbettes de politesse et du jet de confettis, il y a deux poids deux mesures. Le bon accueil d'un nouveau collaborateur doit répondre à une question de développement, à court ou à long terme, de votre entreprise. Faites attention tout de même à ne pas le rater car cela sera très préjudiciable.

En général les grandes entreprises possèdent un service d'accompagnement pour les nouveaux venus. En revanche les PME-PMI n'ont pas forcement cette approche soit par manque de moyens soit par manque de connaissance.

9 novembre 2012

Quel type de management vous convient-il ?

managementLa communication... voilà un mot qui qualifie bien le management car il n'y a pas de secret, votre manière d'aborder vos collaborateurs vous collera à la peau. Vous avez aujourd'hui le choix entre deux style de management : le management directif et le management participatif.

Quand le premier tend à être ferme, le second lui est plutôt souple, voici un petit détail de ces deux modes de management qui se partagent le gâteau.

Management directif
Je vous rassure il ne s'agit nullement d'une dictature, le rôle d'un manager directif sera plus de superviser les projets et actions et de sanctionner au cas ou. On peut identifier ce type de management comme étant simple et hiérarchisée, le manager sera donc seul décideur.

Management Participatif
Ce style de management laisse plus de champ libre à la responsabilité de chacun des collaborateurs, tout le monde peut prendre la place de tout le monde. En revanche le dialogue n'est pas une qualité pour le manager participatif car celui-ci doit s'organiser par rapport à ses collaborateurs, ce qui peut perturber le bon déroulement de projets.

 

26 octobre 2012

Risques Psycho-sociaux, quand le stress devient un problème d'argent.

stress-1Phénomène plus que sérieux, le stresse en tant que risque psycho-social a du être adopté rapidement par les directions des entreprises.

Cependant, plus que le problème en lui même, c'est essentiellement son coût qui fait jazzer. Et oui on a tendance à parlementer sur les coûts qu'engendreraient le stresse d'un employé que les coûts de sa prévention vis à vis des équipes.

Le coût de la prévention du stresse sera toujours en fonction de votre réactivité face à ce risque, de même que la manière dont vous aborderez le sujet.

Ainsi, le prix que vous mettrez dans une équipe préventive qui comprendrait un controleur de gestion sociale, un responsable bien-être, un préventeur et un responsable de l'accompagnement managérial, le tout à temps partiel (largement suffisant pour un encadrement adéquat), ne vous ruinera pas pour un sou.

 

31 août 2012

Détecter les signes avant-coureurs de la mise au placard.

Mauvaise-communication-300x300La mise à l'écart par son employeur ou pas ses collègues est un problème très difficile à gérer. Le sentinent d'inexistance montre le bout de son nez et sonne la sonette d'alarme. Soyez réactif pour éviter tout débordements.

Bien avant que la sanction ne tombe comme un épée de Damocles, il faut être attentif aux moindres changements du vent. Par exemple, votre patron vous demande subitement de prendre rendez-vous avec lui pour qu'il puisse répondre à vos questions, alors que peu de temps avant, sa porte vous était grande ouverte. Ne devenez pas pour autant paranoïaque, c'est un enchainement d'évènements de ce genre qui doivent vous mettre la puce à l'oreille, pas un cas isolé de temps à autres.

Vos doutes sur vos libertés et responsabilités continuent de vous hanter ? Une seule solution, le dialogie avec l'intéressé. Converser de votre malaise avec votre chef ne peut vous faire que du bien, soit il vous libère d'un poids qui ne vous était pas attribué, soit il l'allège en vous disant la vérité. Dans le deuxième cas sortez vite de votre bulle et tacher de devenir (redevenir) indispensable ou du moins plus efficace.

la dernière solution qu'il vous reste si cette mise à l'écart persiste malgrés tout vos efforts... la porte. Attention il n'est aps là question d'envoyer se faire **** votre responsable et de partir comme un voleur de sac à main. Plus vos années d'anciennetée s'accumule plus il sera difficile pour vous d'envisager de partir, c'est normal mais quelques fois il faut se faire violence et aller de l'avant.

 

31 juillet 2012

Percevez vos défauts.

Leadership-12Vous avez toutes les qualités pour diriger une équipe, communicatif, positif, entreprenant mais malheureusement pour vous les résultats ne sont pas là. Votre première réaction se tendrai à critiquer le manque de professionnalisme de vos collaborateurs, et si le problème venait, en partie de vous ?
Décellez vos mauvais côtés et corrigez les avant qu'il ne soit trop tard !

 

Ce qui fait la force d'une équipe, on sera tous d'accord sur ce point, c'est la cohésion. Or dans certain cas, il arrive que les rapports entre collaborateurs ne soient pas au beau fixe et vous en êtes certainement la cause. En effet, on a tendance à plus apprécier les gens qui nous ressemblent et ce manque de distinction envers les autres créer des sortes de "clans".
Veillez donc à communiquer autant avec vos proches collaborateurs qu'avec les plus discrets car ce sont eux qui ont le plus besoin de vous et de votre estime.

Un manque flagrant d'implication enveloppe votre équipe, retards répétés, travail négligement préparé. Avec tout ces débordements vous arrivez à peine à trouver du temps à consacrer à votre propre travail, mais cette mauvaise organisation ne vient-elle pas de vous ?
Etre trop à l'écoute de vos collaborateurs les amène à vous solliciter dès qu'ils ont le moindre soucis. Une seule chose à faire alors, vous affirmez et apprendre à critiquer (en bon uniforme) le travail de vos collaborateurs, savoir dire oui ou non quand il le faut et surtout hierarchiser vos tâches pour gagner en temps.

Le manque de productivité est aussi un cas sur lequel il faut se poser des questions. Vos collaborateurs dénigrent une partie des projets en les baclants, la motivation de votre équipe a pliée bagages il y a déjà un moment, il est alors clair comme de l'eau de roche que celle-ci s'ennuie.
Souvent les jeunes managers ne savent pas comment tenir la barre et conduire le navire (l'équipe) selon la feuille de route. Il vous est donc indispensable en tant que chef de groupe d'avoir des objectifs à moyens et long termes.
Ne restez pas à suivre simplement les ordres de la hierarchie et soyez fort de propositions afin de bouger ce petit monde.

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